Activité 4, les mutations
- amorel19
- 13 oct. 2017
- 1 min de lecture
Dans cette activité, pour comprendre pourquoi certaines personnes aiment le brocoli et d'autres non et pour voir qu'elle sont les conséquences de l'ADN sur la protéine réceptrice du gout, TASRR38, nous étudirons une séquence d'ADN d'une personne sensible au PTC en comparaison à celle d'une personne non sensible au PTC. D'abord en transcrivant l'ADN en ARNm puis en traduisant l'ARNm en protéines pour comparer les 2 ADN et les deux protéines et relever les mutations.
Séquences d'ADN d'une personne sensible au PTC et d'une non sensible au PTC

ADN transcrit en ARNm

Traduction de l'ARNm en protéines

Comparaison des 2 ADN





Bilan :


Comparaison des 2 protéines



Bilan:


Notre hypothèse sur comment la mutation invoquée peut-elle modifier la sensibilité au PTC:
La 3D nous permet de comprendre que la mutation se fait au sein de la cellule dans le cytoplasme. Or, les récepteurs sont encrés dans la membrane plasmique à la fois dans la cellule et à l’exterieur. Cela contredit nos hypothèses de l’activité 1 où nous affirmions que lorsque quelqu’un n’est pas sensible à l’amertume, le site actif ne permet pas l’encrage de la molécule PTC au récepteur. La mutation se faisant donc dans le cytoplasme, cela change la transcription de l’ADN en ARN et par conséquent, la traduction de l’ARN en protéines. Les ribosomes traduisent donc l’ADN différemment (dû a la mutation) et la protéine transmet donc une information différente. Nous comprenons maintenant que l’appréciation/ détection de l ‘amertume se fait après réception du récepteur, une fois à l’intérieur lorsque le recteur à l’intérieur transmet le message.
Source: https://anagene.reseau-canope.fr/#/home
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